L’Influence De L’Aérodynamisme Sur Le Vol
1. Les différentes parties du vol
Le décollage
Tout d'abord, l’avion décolle face au vent pour avoir une meilleur portance et donc pouvoir décoller sur une distance de roulage plus courte.
Pendant la phase de roulement, l'avion accélère sur la piste afin d'atteindre une vitesse lui permettant d'assurer la sustentation des ailes.
Lorsque la vitesse de décollage est atteinte, le pilote effectue la rotation pour que l’avion quitte le sol. A ce stade les ailes prennent la totalité du poids de l’avion.
La longueur de roulage nécessaire au décollage augmente avec l’altitude.
L'avion quitte le sol et continue d'accélérer vers sa vitesse de croisière tout en prenant de l'altitude.
Le décollage se termine lorsque l'avion atteint 15 mètres de hauteur par rapport a la piste.
Pour gagner en aérodynamique et donc en vitesse, le pilote rentre les trains d’atterrissage.
Le décollage est possible par des changements aérodynamiques de l’avion comme la modification de la surface alaire. Cette modification est faite par les (flaps) à 15% pour apporter le plus de portance possible pour une sustentation des ailes à basse vitesse.
Pendant la phase de roulement, l'avion accélère sur la piste afin d'atteindre une vitesse lui permettant d'assurer la sustentation des ailes.
Lorsque la vitesse de décollage est atteinte, le pilote effectue la rotation pour que l’avion quitte le sol. A ce stade les ailes prennent la totalité du poids de l’avion.
La longueur de roulage nécessaire au décollage augmente avec l’altitude.
L'avion quitte le sol et continue d'accélérer vers sa vitesse de croisière tout en prenant de l'altitude.
Le décollage se termine lorsque l'avion atteint 15 mètres de hauteur par rapport a la piste.
Pour gagner en aérodynamique et donc en vitesse, le pilote rentre les trains d’atterrissage.
Le décollage est possible par des changements aérodynamiques de l’avion comme la modification de la surface alaire. Cette modification est faite par les (flaps) à 15% pour apporter le plus de portance possible pour une sustentation des ailes à basse vitesse.
La vitesse de croisière :
Après le décollage l’avion veut atteindre sa vitesse de croisière.
En effet, le pilote rentre les volets et les trains d’atterrissage. Cette action va apporter moins de traînée à l’avion. Il va commencer à prendre de la vitesse. La croisière est la phase qui se situe entre le décollage et l’atterrissage.
Il s’agit de la vitesse moyenne la plus rentable pour un avion. Plus précisément l’avion va atteindre une certaine hauteur (37 000 pieds environ) ; plus il monte en altitude moins il y a de molécules d’air donc la pression diminue ; donc les moteurs de l’avion doivent fournir moins de force pour atteindre leurs vitesses optimales.
En effet, le pilote rentre les volets et les trains d’atterrissage. Cette action va apporter moins de traînée à l’avion. Il va commencer à prendre de la vitesse. La croisière est la phase qui se situe entre le décollage et l’atterrissage.
Il s’agit de la vitesse moyenne la plus rentable pour un avion. Plus précisément l’avion va atteindre une certaine hauteur (37 000 pieds environ) ; plus il monte en altitude moins il y a de molécules d’air donc la pression diminue ; donc les moteurs de l’avion doivent fournir moins de force pour atteindre leurs vitesses optimales.
L’atterrissage :
L'atterrissage consiste à amener l'avion à prendre contact avec le sol à une vitesse aussi faible que possible afin de réduire au maximum la distance qu'il va parcourir pour s’arrêter.
Pour réduire cette distance les pilotes essayent de se mettre face au vent pour atterrir sur une distance plus courte.
La distance d’atterrissage augmente avec la température ambiante et l’altitude de l’aéroport (comme vu auparavant ,l’air est plus fin en altitude. L’avion doit aller en conséquence plus vite pour garder sa portance mais, l’avion prend plus de temps à freiner.)
Pour préparer l’atterrissage, l’avion sort les (flaps) à 30%. Ceci va réduire la vitesse de l’avion et assurer une portance à basse vitesse.
Lorsque l’avion commence à atterrir le pilote réduit sa vitesse .
Pour réduire cette distance les pilotes essayent de se mettre face au vent pour atterrir sur une distance plus courte.
La distance d’atterrissage augmente avec la température ambiante et l’altitude de l’aéroport (comme vu auparavant ,l’air est plus fin en altitude. L’avion doit aller en conséquence plus vite pour garder sa portance mais, l’avion prend plus de temps à freiner.)
Pour préparer l’atterrissage, l’avion sort les (flaps) à 30%. Ceci va réduire la vitesse de l’avion et assurer une portance à basse vitesse.
Lorsque l’avion commence à atterrir le pilote réduit sa vitesse .
Flaps 30% sur une aile d'un Boeing 737NG
Lorsqu’il est suffisamment proche du sol, le pilote cabre l’avion vers l’avant pour que le train d’atterrissage arrière prenne contact en premier avec le sol. Dès le contact au sol, les spoilers ce déploient pour freiner drastiquement l’avion.
Les spoilers déployé lors de l'atterissage
L’avion ayant ralenti de 300Km/h à 50Km/h peut à présent quitter la piste pour rejoindre le stand (parking).